Alors comment aider dans les situations classiques ?
Le but pour le patient est d’augmenter progressivement ses capacités aérobies. Comme dans un entraînement classique, le travail sportif combine donc un entraînement de puissance et d’endurance, mais en gardant des intensités et durées moindres que chez un sportif sans maladie auto-inflammatoire.
Des voies énergétiques interférant avec les mécanismes de la maladie
Le stress oxydatif et les microtraumatismes mus-culaires générés par l’AP sont responsables du déclen-chement de phénomènes inflammatoires. Bien que normaux, ils sont sur-interprétés chez les patients atteints de MAI.
Néanmoins, ces effets pro-inflammatoires à court terme sont contrecarrés par le déclenchement de mécanismes de régulation interne qui eux ont une activité anti-inflammatoire puissante et rapide.